mardi 29 juin 2010

PrédilectionS



Quel meilleur choix ?

samedi 26 juin 2010

At School



Quelques lignes de remerciement, deux phrases pour cette année, et l’image lointaine de cette maman rencontrée. Comme une incroyable présence au-delà du terme, l’émotion est de découvrir la démarche. Elle parle de qualités humaines et de progrès vers la découverte de la langue française. Celle de reconnaissance, d’audience et de joie, ce serait moi là où la classe vive teste le dialogue. Il y a dans le rythme scolaire comme une révolution soudaine, comme la course accélérée d’un groupe qui se forme et qui se lâche à peine. Grandissent les espoirs et les êtres.

mercredi 16 juin 2010

Eclose




Présente et parfaite, comme l’infime représentante de la couleur-harmonie, elle est ta tendresse, le silence d’un geste total, la seconde belle, inaccessible. On aimerait admettre les métaphores, n’être que cela, pétale disposé. Le détail reste celui-ci : comment une plante distingue-t-elle ainsi, dans sa croissance, les feuilles et les fleurs ? Comment toutes les finesses et la régularité parfumée se glissent-elles en un ? Ce pourrait être l’aire suprême, sans peur ni fausseté.

lundi 7 juin 2010

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Une berceuse simple ? Le chant d’indulgence, la paix.

dimanche 6 juin 2010

De la lune



A toi, lune pure, dont la voix voudrait s’inspirer, lune belle que la courbe éclaire sublime et présente, tu es le sens d’un regard en conscience, l’unanime. On te retrouve, lune fidèle, au sourire d’une soliste prodigieusement douce, au projet d’une participation en plénitude, là où s’exprime l’amour de venir vers lui, accueillie par merveille. Parfois le ciel qui lui-même te vit, lune seule, approfondit l’infime prière, singularise le chant. Lune petite, souvent, à nous connaître par cœur, tu t’éprends, sereine claire.

vendredi 4 juin 2010

Espace d'un jardin




D’un commun sourire, nous les imaginons radieux, à la soif du partage, exaltants visiteurs, reporters volubiles. C’est comme, au seuil d’une nature bouleversée, la finition des rôles que chacun se décerne dans l’illogique de l’équilibre. D’un groupe à l’autre, le soleil et la lune, la portance des branches et le regard des bêtes.

C’est le lieu d’un multiple d’essence lointaine. C’est le haut de la ville et l’union de nos pas. Teinte de profusion qui paisiblement recueille la note rayonnante là où nous marchons ensemble.