Ce sont quelques mots. Infiniment petits. Rien de plus étonnant que la discrétion de cette phrase merveilleuse, mais c’est qu’ici déjà s’éveille le secret, le charme inattendu et légèrement prodigieux. « Ma chérie, Mon amour… » Harmonie de la joie, coloration du monde, « puisque la nature t’aime ». A la hauteur d’une coccinelle, à la taille d’un roman, à l’échelle d’une symphonie, la perspective est si belle. A l’image de la chance, l’enchantement-délicatesse.