dimanche 19 juillet 2009

***



Je croyais que je savais écrire, et me voilà sans mots pour décrire les sentiments et sensations qui sont près de moi sur cette étrange terre. Je croyais que je savais être seule. Sur l’étang du silence, les grèbes et les foulques parlent un langage nécessaire qui attire les profondeurs du paysage. Rien n’est si petit, unicité tremblante que nous pensons comprendre. Parfois le Docteur Who répète : « Je suis désolé. Il n’y a rien que je puisse faire. » There’s nothing I can do, mais c’est le moment qu’il choisit pour agir et rétablir. C’est un séjour de plénitude, l’essence merveilleuse de tes prévenances souriantes, l’espoir infini de notre partage, entre sentier et voie, entre-voix toi et moi