lundi 20 avril 2009

Pulchritudo veris



Lorsque la joie inscrit vraiment l’arc-en-plein-ciel et qu’elle vous accorde ses magiques pensées, quelle saison se promène en paroles aimantes ? On parle de vertige, jusqu’au mélange des espoirs devinés. Plus beau que le printemps, il est l’artiste attiré par la liberté et la beauté. Il est l’espace du bonheur et de la vérité. La musique s’accorde avec le silence, les sentiers uniformes délivrent les racines et ancrent les pensées. « A chanter comme cela, c’est le rouge-gorge », propose mon frère, « mais si tu préfères inventer une autre espèce… » A l’orée des croyances, l’immiscé bien créé.