jeudi 22 juillet 2010

Académie nationale de musique




Place des œuvres, silence intriguant au regard des innombrables scènes qui semblent animer l’espace, somptueux apprêt aux spectacles tout proches, l’opéra Garnier imagine les merveilles, les mythes momentanés. C’est comme un partage qui nous admet en ses compositions, « Anno 1669 ». « Tu es comme un ange pour moi ». Dans ce monde des baroques, on comprend la présence subtile et l’amour du fantôme de l’opéra. Anges, cantatrices, tapisseries dorées en lumières dansantes, par figuration d’une harmonie concordante.